Pendant la journée, Mustapha Ben Jaâfar assure le spectacle à l’Assemblée nationale constituante avec ses trois coups de marteau.
Le soir, il laisse tomber la cravate pour assister aux spectacles du Festival Carthage qui pourraient, éventuellement, l’inspirer pour des mises en scène au Bardo.
Aux côtés de Sihem Badi, avec une belle robe blanche (porte-bonheur), Ben Jaâfar hume le bon jasmin et, surtout, l’air frais de Carthage.
La nuit, Carthage sent bon. Le jour, c’est encore meilleur, parait-il. Surtout à quelques encablures du Théâtre romain, là où se trouve le palais présidentiel…
R.B.H.
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